Ces travaux de thèse, menés en partenariat avec le Laboratoire Eau, Environnement et Systèmes Urbains et le SIAAP dans le cadre du programme MeSeine Innovation, visaient deux objectifs : étudier la diversité et la répartition des communautés microbiennes présentes en Seine et étudier les effets potentiels des rejets d'usines d'épuration traités par acide performique sur ces communautés. Pour ce second objectif, l'étude a été réalisée selon deux approches : en microcosmes et in situ sur une lagune du Syndicat mixte du bassin de Thau recevant des rejets traités.
Cette étude a permis de constituer une base de données de référence sur la diversité microbienne de la Seine au sein de l'agglomération parisienne et apporte un premier retour d'expérience dans des conditions réelles d'exploitation confirmant l'innocuité des rejets traités à l'acide performique sur les communautés microbiennes du milieu récepteur.