Le 23 juin dernier, Julien Sade, doctorant au Laboratoire Eau, Environnement et Systèmes Urbains (Leesu), a brillamment soutenu son mémoire de thèse.
L’objectif de la thèse était de créer un modèle statistique utilisant l’ensemble des données issues d’analyses par spectrométrie de masse haute résolution (HRMS) pour évaluer la toxicité d’échantillons d’eaux de surface potentiellement impactées par des rejets urbains de temps de pluie. A terme, l’objectif opérationnel est de pouvoir réduire les tests systématiques de toxicité, chronophages et coûteux, et d'intervenir en cas de détection de micropolluants potentiellement dangereux.
Ce projet de recherche collaboratif entre le SIAAP et le Laboratoire Eau, Environnement et Systèmes Urbains (Leesu), l'Université Paris-Est Créteil (UPEC) et l'École nationale des ponts et chaussées, a été réalisé dans le cadre du programme MeSeine Innovation.